Si les ardoisières de Fays-les-Veneurs n’ont pas laissé la même empreinte touristique que celles de Bertrix (Morépire, transformées en musée), elles demeurent un témoin essentiel de la vie ouvrière du XIXᵉ et du début du XXᵉ siècle. Les hommes du village et des alentours descendaient dans ces galeries sombres, où le travail était rude et dangereux, mais garantissait un revenu indispensable aux familles.Aujourd’hui, ces sites ne sont plus exploités et se sont partiellement refermés sur eux-mêmes. Ils représentent toutefois un pan d’histoire locale qu’il est important de rappeler et de préserver dans la mémoire collective.



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