Ces ardoisières, abandonnées depuis plusieurs décennies, laissent encore percevoir des traces tangibles : excavations, entrées murées ou sécurisées par des grilles, amas rocheux et reliefs artificiels. Lors de promenades dans les bois ou le long des ruisseaux, le promeneur attentif peut reconnaître ces cicatrices industrielles, désormais intégrées dans le décor naturel. Certaines randonnées balisées de la région passent à proximité et signalent ces anciens sites, ce qui permet de relier la mémoire industrielle au plaisir de la découverte du paysage.


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