Par Saussure Carlsbourg alias Rézette Frédéric
Restitue le duché de Bouillon aux princes évêques de Liège
04/03/1559Elle fut installée en 1615 par Ferdinand de Bavière, prince-évêque de Liège et ... achat du château de Bouillon (1096), annexion du comté de Looz (1361)… ... il est adapté aux conditions de circulation et de navigation modernes en ... Comme l'indique une inscription présente à la base de la lanterne,
En savoir plus11/20/1629Après y avoir dîné, le duc continua son voyage vers Paliseul où il arriva en fin d’après-midi. Ce « misérable village était tellement dépourvu de commodité que tous les gens de la suite furent contraints de passer la nuit sur la paille. C'est à peine si l'on y découvrit une chambre convenable pour y étendre le lit de Son Altesse… »
En savoir plus07/25/1669Petit Monaco du nord ayant accueilli des encyclopédistes en fuite (XVIIIe siècle), le duché de Bouillon prend une part active à la Révolution de juillet 1789.
En savoir plus03/07/1790L'assemblée donne le duché de Bouillon à la Belgique
11/15/1831Monsieur le Curé Dupuis remettait aux Frères qui arrivaient les clés du Château - Résumés par Martine Jacques
En savoir plus10/07/1844Sous la conduite du Frère Directeur Ingaud, la communauté se mit à l'oeuvre pour adapter les salles du château aux besoins scolaires et les convertir en classes. Travail difficile, mais dès le 2 novembre 1844, à l'ouverture des cours, 35 élèves étaient présents!
En savoir plus11/02/1844Paul Verlaine tire sur Rimbaud, après 2 ans de prison, il est expulsé de la Belgique, il ne reverra jamais Paliseul.
07/09/1873Le Comte Gourcy vend 10 hectares de sa propriété des Abys aux religieuses de l'ordre de la visitation du couvent de Moselweis, près de Coblence. Cette propriété est composée du château, de jardins, de pelouses et de la maison du garde.
En savoir plus11/17/1873et le pensionnat accueille des jeunes filles de diverses nationalités, ce qui facilite l'apprentissage des langues.
En savoir plus04/20/1874et transforment le château en couvent et pensionnat. Il prend le nom de "Monastère des Abys"
En savoir plus04/04/1875La ferme de l'établissement de Carlsbourg à l'emplacement actuel de l'école d'application est en feu
01/04/1900Le 24 août 1914, les villages d’Offagne et du hameau d’Assenois, en bordure du sud du Luxembourg belge, furent le théâtre d’une tragédie qui marqua durablement leur mémoire collective. Dans le contexte de la bataille des Frontières, où l’armée allemande avançait rapidement en territoire belge, les populations civiles furent frappées par des représailles systématiques, sous prétexte de réprimer des « francs-tireurs ». Ce jour-là, des unités du 118e régiment d’infanterie allemand investissent Offagne et Assenois. Sans distinction, treize habitants sont exécutés sommairement. Ces actes, dépourvus de tout jugement, reflètent la logique de terreur qui accompagnait l’invasion, visant à briser la résistance des populations locales. Parallèlement, le hameau d’Assenois subit la destruction de vingt-deux maisons. Ces incendies, en quelques heures, réduisent en cendres des demeures construites sur plusieurs générations, jetant des familles entières sur les routes et modifiant durablement le paysage du village. Ces violences s’inscrivent dans un contexte plus large de massacres et d’incendies perpétrés dans la région, aux côtés de localités comme Bertrix, Izel ou Maissin, marquant l’un des épisodes les plus sombres de l’invasion allemande en août 1914. Aujourd’hui, la mémoire de ces événements est préservée par des stèles et monuments. À Offagne, une pierre commémorative adossée à l’église Saint-Hubert porte les noms de neuf des victimes exécutées ce jour-là. Les autres noms figurent dans les archives paroissiales et communales, ainsi que dans les registres d’indemnisation postérieure à la guerre. À Assenois, la mémoire locale garde également le souvenir des habitants fauchés et des maisons détruites. Le 24 août 1914 reste un symbole de la souffrance des civils et du prix payé par des populations innocentes lors de la Première Guerre mondiale. Les villages d’Offagne et d’Assenois témoignent, par ces drames, de la brutalité des premières semaines du conflit et de la nécessité de préserver la mémoire de nos aïeux. Sources: Wikipédia, Offagne – mention des 13 civils exécutés et des 22 maisons détruites à Assenois. TracesOfWar, Offagne – Memorial stone (église Saint-Hubert) – stèle listant 9 noms de victimes. Unité pastorale Offagne–Assenois, page historique – attribution au 118e régiment d’infanterie allemand. Wikipédia, Atrocités allemandes en 1914 – cadre général et chronologie des massacres. Contexte historique de la bataille des Frontières (août 1914).
08/24/1914Il célèbre sa première messe accompagné de l'abbé Henry Thiry, tout deux de Opont
08/01/1943La ligne Pussemange-Bouillon-Paliseul ferme son service aux voyageur mais servira encore au trafic de marchandises jusqu'en 1963 Un service de bus Bouillon-Libramont va fonctionner pour la 1er fois
07/16/1955les dernières sœurs se retirant dans d'autres communautés.
En savoir plus12/16/1968Participant à Pékin Express avec son frère Ludo
06/26/1979Participant Pékin Express - Chroniqueur télévisé
09/15/1981"Un blason pour Paliseul" par Eric Burgraff
En savoir plus01/06/1992au Home du bois joli à Carlsbourg
En savoir plus01/08/2021Renaud Keymeulen lance un appel à la population sur le groupe Facebook de Saussure Carlsbourg d'antan pour de la main d'œuvre pour la réalisation de travaux de réhabilitation du château de Carlsbourg
01/03/2022 Cécile Bodet
Année 1965 sœur Agnès a l avant vers la droite bénédicte arend Paola gridlet maryvonne poulachon beatrice lambert . derrière veronique jaquet. Milieu devant annette gerard et Christian Bernard. devant sœur Agnès on voit Véronique gridllet. Quelqu'un un peut reconnaître jean luc Pierson denis gilet marc Pierson...?
Myriam Depierreux
Années 1976 ou 1977 ? Ecole communale ou lycée d état Paliseul.
Madadel Mada Dauvin
Danièle Bodet
Voici la classe de Sœur Jean-Marie en 1968, bon amusement pour reconnaître chacune...
Thierry Hannard
Année 1970
1 pierre Jacques
2 Bruno Jacques
3 Dominique goosse
4 Philippe cavelier
5 Jules jaquemain
6 Benoît Legrand
7 Jacques culot
8 Thierry hannard
9 Freddy Bernard
10dominique de lait
11philippe goosse
12emanuel Didier
13andre Lambert
14jean pol goosse
15pierre demol
16philippe bodet
17 François Poncelet
18 Michel Nicolas
M-Paule Ponsard
Il me semble que c'est dans la cour de l'ancienne école primaire des filles.
Le bâtiment à gauche serait le logement de l'enseignant et, à l'arrière-plan, la maison du garde champêtre Chaidron qui est aujourd'hui la maison du boulanger "Sylvain "
Je reconnais ma tante Henriette Lozet, soeur de Madeleine Lozet ( 1ère à gauche) qui était mariée avec Étienne Ponsard
Colette Lambert
La 1ère personne à droite est ma mère Yvonne Noiret mariée à Nestor Lambert
Cette photo est celle de la classe des « Castors » Normale 63.
Les personnes sont en commençant par le dessus à gauche et en descendant :
JM Mollet, Jacques Nicolas, José Bastin, JM Poncin, Joseph Verlaine,
2ème rang: Mr Vanderlinden, Mr Dufresne, JM Jadoul, André -Marie Gilson, Michel Gillet, Noël Wilputte, Mr Bourcy, Mr Rollmann, Abbé Lotin, René Gustin, André Poncin, JM Gosset, Alphonse Chisogne et Alfred Rezette....
Annie Goosse
Framont : L école en 1898 avec mes grands parents
Jacky Schingtienne
Avant 1955, Double mariage - église de Carlsbourg
Dany Pierson :
Le premier concert de Noël de la chorale a eu lieu à Carlsbourg le 20 décembre 1981 avec les six chorales de l'entité de Paliseul. Le 27, le même concert a été donné à Jéhonville. Pour son deuxième concert, le 18 décembre 1983, la chorale a invité le trompettiste Gérard Adam. En 1984, pas de concert à Carlsbourg, mais nous avons été sollicités par Mogimont (si mes souvenirs sont bons). C'était le 16 décembre. Ensuite ce fut le 22 décembre 1985 et je pense que la photo date de cette année-là. Le dernier concert avec la chorale au complet s'est déroulé en décembre 1990. Après ça, les jeunes sont partis aux études supérieures ou se sont mariés et les effectifs se sont réduits à une quinzaine de personnes puis ont diminué encore au fil des années.
A la sortie de célébration un Dimanche ?!
Dany Pierson :
Ma grand-mère Sidonie, à droite, avec sa sœur, la tante Marthe Pirot (de Vivy).
Martine Jacques :
Merci Dany Pierson
! Super photo ! Années 60 ? Ta grand-mère et ta grande-tante étaient bien élégantes, sans doute un dimanche, mais elles ne sortaient pas de l'office car elles n'avaient pas de chapeau.
Dominique Jacques :
Aaaahhhh le chapeau.. ou le foulard... Toute carlsbourgeoise en avait un soigneusement plié dans son sac: l'indispensable précaution pour entrer à l'église.
Belle photo effectivement parlante, voire subliminale, à bien des égards...
Luc Hye ·
Ma communion. Je pense 16 May 1981?
Inauguration du mémorial des anciens profs héros de 14-18
Pierre Fourneau
Inauguration du mémorial des anciens profs héros de 14-18
Pierre Fourneau
On aperçoit sur le toit une grande croix rouge car les Allemands avaient réquisitionné le collège pour y installer un hôpital. Photo de 1945 je pense après la libération
Pierre Fourneau
Procession en 1938
Pierre Fourneau
Souvenir : Commémoration devant le monument aux morts de la guerre 14 18 à Maissin de la bataille du 22 Août 1914 avec Monsieur le curé Brevers jusqu'en 1964-65 à Maissin et ce depuis plusieurs dizaines d'années.
Avec monsieur le curé Brevers, le bourgmestre H Dom et mon père Numa Crasset président des anciens combattants. L'année je ne m'en souviens pas mais probablement les années 50. Monsieur curé était encore à Maissin en 1963 pour le mariage de ma soeur et plus en 1966 mon mariage.
Jocelyne Rosenbaum
La Mission à Opont en janvier 1909. Le curé de la paroisse de Opont était l'abbé Joseph Sacré. Il était né à Gembloux en 1866, vicaire de Dhuy puis curé de Opont de mars 1906 à 1910, DCD à Mariembourg le 29 /01/1936.
Ces photos sont prises devant le presbytère, actuellement la maison de André et Cécile Pierre qui viennent de perdre leur fille aînée dans des circonstances dramatiques.
Comme c'était la coutume, deux Pères (Franciscains je pense) étaient venus prêcher cette Mission, " pour remettre les paroissiens dans le droit chemin".
Raymonde Collard Denis
"Mon grand-père maternel Édouard Henry décoré par Jean Bertrand. Mon grand-père a été prisonnier de 1940-1945 en Allemagne. Il a été porte-drapeau jusqu'à son décès en mars 1988." - Elvire Philippe Collette: "Je me souvient d'Edouard; il arrivait à la ferme 2 - 3 fois par an, il disait "dit Emile tu as le temps?" si papa n'avait rien d'urgent ils partaient ensemble faire le tour des pâtures et des bêtes autrement il repassait quelque jour plus tard." - Brigitte Brigitte Etienne: "Merci pour ce joli souvenir Élvire. Il aimait la ferme chez vous. Il y a passé presque toute sa vie,il travaillait pour les grands parents de Anne Legrand."
Brigitte Brigitte Etienne
L'abbé André Michaux, 1995.
40 ans de sacerdoce.
15 ans de présence à Carlsbourg.
Dany Pierson
jeux intervillage juillet 86 les organisateurs
georges arnould, jacqui legendre, jean paul materne, fermand burgraff, yvon poncelet
jean pol culot, jean-marc ansay, yvon poncelet, michel collard, francis ansay, rene ansay, pierre-yves galloy
Marie Claire Goosse
Autre tradition à Carlsbourg :les pièces de théâtre jouées par des personnes du village. Notamment "Les bons amis" jouée le 20 février 1971.
Jacqueline Rongvaux:
Je reconnais la rue haïe du k...
c est quoi?
Ludovic Lagneau:
Jacqueline Rongvaux, vraisemblablement un événement du genre auto cross, (1970?) .Mon père étant du secourisme de la croix rouge et passionné de photographie d'où le fait que je possède ces clichés ...
Fabian Dumay:
C’est un show du cascadeur Thierry Hallard.
Partie de luge dans grand-rue en direction de Merny devant notre maison.
On aperçoit sur la gauche les maisons Bouquette, Lambert et sur la droite maisons Comes, Pierlot et Sironval,...
Et la première maison à droite où se trouve la voiture. C'était chez Comes
Danièle Bodet
Le long de la grand route c'est la Grand Rue, au n° 34 Grand Rue à Carlsbourg, ancien Chantier maison Denoncin Léon; la remise existe toujours tel que, ainsi que le terrain! Sauf pour les poteaux électriques, maintenant, ils sont le long de la route, et non au milieu de la propriété
Photo de Danièle Bodet et Info de Brigitte Culot Denoncin
Danièle Bodet
Equipe de Foot Carlsbourg en 19??
Les cadets du Football Club de Paliseul
Claudine Robert
Les scolaires
Claudine Robert
M-Paule Ponsard:
Il me semble que c'est dans la cour de l'ancienne école primaire des filles.
Le bâtiment à gauche serait le logement de l'enseignant et, à l'arrière-plan, la maison du garde champêtre Chaidron qui est aujourd'hui la maison du boulanger "Sylvain "
Photo de Danièle Bodet
Photo de Danièle Bodet
Photo de Danièle Bodet
Photo de Danièle Bodet
Photo de Dominique Jacques
Photo de Danièle Bodet
INSTITUT . Année 1945 -1946 . Le Grand Théatre du Monde — à Carlsbourg
Maissin 40/45
Jacky Schingtienne
Carte de prisonnier de guerre de mon grand père
Eric Maury
Voici le cadre souvenir de mon grand-père Édouard Henry de Beth. Ancien Prisonnier de guerre durant 5 ans.
Brigitte Brigitte Etienne
Brigitte Brigitte Etienne:
En mémoire de mon oncle, frère de ma maman.
Albert travaillait ce jour là sur une machine sur laquelle il n'avait pas l'habitude de travailler, une déchiqueteuse. Son bras a été happé par la machine. Il a été projeté à toute vitesse . Son corps entier a été cassé, son bras arraché.
Claudine Coulonval:
C'est papa qui était avec l'ambulance...😢 très dur....
Brigitte Brigitte Etienne
En hommage à mon grand-père, papa de ma maman.
En 1988, en mars
Brigitte Brigitte Etienne
Marc Douret
André un sacré bonhomme que j adoré rencontrer
Anne Verday
Ah oui la même jeunesse.... souvenirs souvenirs....
Aly Max DouretGerard
Oh oui 🤩 beaucoup de souvenirs aussi la bas quand Monsieur Paquay nous réparait les vélos
Dany Pierson
Non seulement il les réparait, mais il en reconstituait à partir des pièces de différents vélos. 😊
André Paquay
Alexis-Marie Gochet, Fils d'un brasseur de la Basse-Sambre, c'est le curé d'Ars qui me fit comprendre ma vocation et entrer chez les Frères des Ecoles Chrétiennes.
Grand passionné et pédagogue d'une spécialité particulière, j'ai passé plus de 10 ans d'une carrière prolifique à Carlsbourg, et ai autant enseigné qu'écrit.
Je fus un des premiers à mener un combat humaniste en Afrique, dénonçant la traite des nègres il y a plus de 140 ans.
J'ai eu la chance d'avoir l'estime et l'écoute des rois Léopold II et Albert Ier.
Sans le vouloir et bien après ma mort, je suis sans doute le seul carlsbourgeois ayant eu les honneurs d'un timbre poste.
il faut savoir que c'est lui-même et son frère Louis (conseiller provincial) qui avait repris les activités familiales brassicoles, qui fondèrent l'Institut Saint-Jean-Baptiste de Tamines, avec en trame la loi de
1879 sur l’enseignement qui laïcisa les écoles communales (communément appelée la « Loi de Malheur »). La famille apporta une importante contribution financière. La première rentrée scolaire officielle s'effectua le 1er octobre 1879, les magasins de la brasserie étant utilisés comme classes provisoires ! Les cours devaient avoir un délicat arrière-goût de houblon 🍺 ... Dès la fin de l'hiver 1879, 195 élèves étaient inscrits. Et le premier 'cher Frère Directeur' s'appelait "Mansuy" 😁 Bon sang réclamant toujours sa terre in fine, les restes d'Alexis-Marie furent ramenés à Tamines après sa mort.
Cliché-portrait réalisé par Alexandre Quinet, le photographe officiel du Congrès des Sciences Géographiques de Paris en 1875 auquel notre bon Frère participait.
Jean-Baptiste Gochet dit "Frère Alexis-Marie"
Qui se souvient de l'Abbé André Maréchal ? Aumônier au collège de Carlsbourg et Chapelain à Merny de 1957 à 1968. Ici devant l'église de Merny avec ses enfants de chœur, certains se reconnaîtront...
Départ de l'abbé Maréchal vicaire à l'Institut St Joseph et à Merny (sous les ordres de Monsieur le curé Heugène Godenir de Carlsbourg) Sur la photo, se trouvent tous les enfants de coeur.
En bas de gauche à droite: Alain Jamotte, Philippe Deloitte, Marc Falmagne, Christian Thirion, Roland Bourguignon, Francis Gourmet.
le rang au-dessus de gauche à droite; Franz Arnould, Christian Jamotte, Gérard Daco, Michel Bourguignon, caché Michel Deloitte,Maurice Bourguignon, Daniel Jamotte.
le rang au-dessus de gauche à droite , José Duval, Louis-Marie Falmagne, Jeaan-Marc Thirion, Guy Falmagne, Marc Jamotte, Daniel Depierreux,
dernier rang, André Arnould, Monsieur l'abbé Maréchal, Francis Némery, Yvan Duval
Photo de Guy falmagne ( ? 1698 ? )
Comme c'était beau avec les arbres ! - Photo de Eric Maury, ici sur le porte paquet du vélo, prise en 1958 aux alentour de l'actuelle Boisellerie sur la rue de la Station à Paliseul
Eric Maury
Chapelle Saint Roch juste après la guerre avec, ma maman, Yvette Dauvin qui est debout
Eric Maury
Eric Maury:
Voici une photo, en 1958, depuis le jardin de la maison rue d'Offagne que j'ai diffusée il y a quelques jours.
Avec un ballon du magasin VeGe de Paliseul.
Christian Hanchir:
Un ballon de chez l'Angèle et le Raoul ?
Eric Maury
Statu quo dans les travaux... En cause des températures trop basses pour les matériaux ? ❄️☃️🌨⛄️❄️
Martine Jacques
Souvenir de la chorale paroissiale.
Mariage de Myriam Jacques, le 17 août 1985.
Il y a en fait Joseph Jacques, moi, Jean-Marie Balfroid, Raymonde, Annie et Sylvie Goosse, Solange Denis, Agnès Rézette, Donatienne Balfroid, Marie-Josée Jaumotte, (?) Noiret et Alfred Rézette (caché derrière lui, il y a encore quelqu'un qu'on ne peut reconnaître).
Dany Pierson
Autre souvenir "choralistique"...😊
Dany Pierson
Patro en 1974..catherine bienfait et toutes ses copines a vous de les trouver..
Vero Henrard
Annie Thomas, ?, Anne Legrand, Marie-Agnès Burgraff, Catherine Douret, Anne carrozza, Annick Piron, Geneviève Labbé, ?, ?, ?, ?, Valérie Poncelet, Nadine Poncelet (?), Fabienne Piron, Cathy Bienfait (?), Catherine Legrand, Bénédicte istace.
Jessica Wirtz - Véro Hannard
Quelques souvenirs, patro 1973, camp Henry-Chapelle
Monique Adam:
Je vais tenter de vous aider. Rang1 Rita Dupont Bernadette Comès Françoise Denoncin puis ? Fabienne Chaidron puis?
Rang 2 Brigitte Bernard Myriam Nemry Annette Goffin Dominique Goosse Martine Dauvin Marianne Labbé(+) voilà il reste 2 personnes à reconnaître
Rita Dupont
Quelques souvenirs, patro 1973, camp Henry-Chapelle
Ondine Dau:
Il me faisait un sermons le curé ?
Rita Dupont
Camps à Treignes en 1978
Les dirigeants Philippe Labbé, Christian Hanchir.
De gauche à droite : Hervé Étienne Dominique Piron, Christophe Douret, Claude Burgraff, Denis Thomas, Roland Piron et Frédéric Poncelet
Christian Hanchir
Aucune Info
Nadine Istace
Mr Sironval - professeur d'histoire/géo.
Marie-Marthe Sironval
L'illustre poète qui revenait chez sa tante Je veux parler bien-sûr de Paul Verlaine
Combattant pendant 4 ans dans les tranchées Il sera mis à l'honneur dans la commune
Par Dany Pierson Que le nom de l’auteur supplante le titre de son ouvrage n’est pas chose courante. Quand la publication est une sorte de grammaire, l’auteur n’en a que plus de mérite. Comme le Schumacher en langue allemande, le « Ragon-Dain » pour le grec, le « Grevisse » s’est imposé comme la référence pour le bon usage en langue française. À l’origine, l’objectif n’était nullement d’éditer un volume de plusieurs centaines de pages. Professeur de français consciencieux, Maurice Grevisse souhaite mettre davantage à la portée de ses élèves un manuel de grammaire courant ; il y ajoute tant de nouveaux feuillets que, finalement, on ne retrouve plus trace de la grammaire initiale. Cette transformation correspond bien à l’évolution personnelle de son auteur. Aîné de cinq enfants, né le 7 octobre 1895 à Rulles (Marbehan, Belgique), Maurice Grevisse était destiné à reprendre la forge paternelle, cependant, dès l'école primaire, son goût pour la bonne orthographe l'a poussé à approfondir ses études. Le jeune Grevisse a décidé de devenir instituteur, mais sa formation à l’École normale de Carlsbourg (1914) lui a donné l’envie d’aller plus loin : il poursuit ses études, toujours à Malonne, et devient régent littéraire. Professeur de français à l’École des Pupilles de l’Armée à Marneffe, Grevisse s’initie alors au latin et au grec en autodidacte, avant de s’inscrire en Philologie classique à l’Université de Liège. Après avoir défendu une thèse de doctorat (1925), il se retrouve professeur à l’École royale des Cadets à Namur (1927), puis à Bruxelles. Aménageant les feuillets de sa « grammaire personnelle » sous une forme totalement neuve, il trouve un éditeur de Gembloux, Jules Duculot qui, contrairement à ses confrères plus prestigieux, accepte de publier Le Bon usage (1936). Rapidement, le livre s’impose auprès des philologues et des auteurs. André Gide, le premier, cite Le Bon usage comme son ouvrage de référence (1947). Peu d’années après le réquisitoire de Joseph Hanse contre La Grammaire de l’Académie française, un autre Wallon impose ainsi « la » référence, la meilleure grammaire française, faisant autorité dans tous les pays francophones. C’est l’examen des faits de langue chez les auteurs reconnus, les plus divers, qui permet à Grevisse d’en dresser, sans volonté normative, un constat d’usage. Là est l’originalité du Grevisse. Volumineux, constamment réédité, le Bon Usage est constamment mis à jour. Peu avant sa mort à La Louvière le 4 juillet 1980, Grevisse voyait sortir la onzième édition d’un ouvrage de 1532 pages, consultées par des millions de francophones à travers le monde, toujours édité par Duculot. Gendre de Maurice Grevisse, André Goosse assure la continuité de l’ouvrage qui connaît sa 14e édition en 2007, avec une version électronique. Professeur jusqu’en 1957, membre du Conseil international de la Langue française (1967-1980), Maurice Grevisse a encore publié des ouvrages scolaires ou philologiques complémentaires à son œuvre essentielle (Précis de grammaire française (surnommé Le Petit Grevisse), Cours de dictées, Le Français correct). Chroniqueur dans La Libre Belgique, il a réuni ses articles en plusieurs volumes sous le titre collectif Problèmes de langage (1961-1970).
Par Pierre Bourgeois Marie Degrelle - soeur aînée du triste sire -, religieuse visitandine au couvent des Abbys.
Tristement célèbre par l'affaire Dutroux Michel Bourlet est avocat et magistrat. Il a été procureur du Roi de Neufchâteau de 1984 à 2007. Il prend sa retraite en 2009 et un an plus tard, il publie "La traque au loup". Dans cet ouvrage, il revient sur les affaires qui ont fait trembler les bases du système judiciaire belge et fait le point sur les dysfonctionnements qui subsistent malgré les réformes judiciaires. Marié et père de trois filles, il vit à Nollevaux dans la province de Luxembourg.
Par Dany Pierson Pascal Charpentier, chanteur (Carlsbourg).
Par et photo de ' Angélina Parein ' Benoît Poelvoorde de passage pour le tournage de quelques scènes et mangeant une frite au 'Verlaine'
Par Edouard Mouton Pierre-Fernand Crasset-Mauviel: poète (Maissin)
Lien iciOn ne les présente plus Les frères Daxhelet
(dans la série des Carlsbourgeois réellement célèbres...) Fils d'un brasseur de la Basse-Sambre, c'est le curé d'Ars qui me fit comprendre ma vocation et entrer chez les Frères des Ecoles Chrétiennes. Grand passionné et pédagogue d'une spécialité particulière, j'ai passé plus de 10 ans d'une carrière prolifique à Carlsbourg, et ai autant enseigné qu'écrit. Je fus un des premiers à mener un combat humaniste en Afrique, dénonçant la traite des nègres il y a plus de 140 ans. J'ai eu la chance d'avoir l'estime et l'écoute des rois Léopold II et Albert Ier. Sans le vouloir et bien après ma mort, je suis sans doute le seul carlsbourgeois ayant eu les honneurs d'un timbre poste.
Visite du Roi Baudoin pour le centenaire de la section agricole à l'institut St-Joseph de Carlsbourg
Fiona Ferro, née le 12 mars 1997 à Libramont-Chevigny en Belgique, originaire de Paliseul, est une joueuse de tennis française, professionnelle depuis 2012.
WikipédiaLe château des Abbyes, remanié aux 16ème et 18ème siècle. il a été transformé en monastère des soeurs Visitandines en 1874 Durant la guerre 14 - 48, le couvent fut transformé en hôpital. Lors de la seconde guerre mondiale, il aurait accueilli Hitler et son état-major
Lien icide son vrai nom Stéphane Dauvin, est un dessinateur belge de bandes dessinées
Jules-Hercule-Mériadec de Rohan (Paris, 25 mars 1726 - Carlsbourg, 10 décembre 1788) est un aristocrate français membre de la Maison de Rohan. Il se signala, ainsi que sa femme, fille du duc de Bouillon, et gouvernante des enfants de France, par l'éclat de ses fêtes, la somptuosité de sa maison et par de folles prodigalités, et ils finirent, en 1783, par faire une scandaleuse faillite, qui s'éleva au chiffre de 33 millions; la liquidation n'en fut terminée qu'en 1792. Dès 1783, le prince était tombé en disgrâce et la princesse avait été obligée de se démettre de ses fonctions. Il mourut le 10 décembre 1788 à Carlsbourg en Belgique à l'âge de 74 ans.
Wikipédiané à Carlsbourg en 1948 est un peintre contemporain de figures et de portraits très colorés dans un style fortement graphique.
Site Webnée le 13 mai 1717 à Vienne et morte dans la même ville le 29 novembre 1780, archiduchesse d'Autriche Serait passé à Maissin d'où le pont de même nom
WikipédiaUn fils de Paliseul devenu père du plus grand jardin botanique d’Afrique centrale Mais qui était Justin Gillet ? Né le 18 juin 1866 à Paliseul, dans une famille modeste d’agriculteurs, rien ne laissait présager le destin exceptionnel de ce jeune homme n’ayant reçu qu’une instruction primaire. À 20 ans, animé d’une foi profonde, il entre dans la Compagnie de Jésus. Il est affecté comme infirmier au Collège Notre-Dame de la Paix à Namur. C’est là, dans le silence des soins quotidiens, que germe une passion discrète mais tenace pour la botanique, en particulier les plantes médicinales. En 1893, le frère Gillet est envoyé au Congo dans le cadre de la première mission jésuite dans l'État Indépendant du Congo. Il s’installe à Kisantu, un petit village de la région du Bas-Congo, au bord de la rivière Inkisi. C’est là qu’il va se consacrer à ce qui deviendra l’œuvre de sa vie. En 1898, il débute un jardin d’essai près de la mission. Son but initial est simple : aider la population locale et les missionnaires à améliorer leur autosuffisance alimentaire. Il y plante des légumes européens, du manioc, du riz, des bananiers, des tomates, des pommes de terre… Il tente aussi d’acclimater des plantes inconnues dans la région : goyaviers, agrumes, carottes, oignons, maïs indien. Ce qui n’était au départ qu’un potager évolue peu à peu en un immense projet agricole et scientifique. En 1900, il étend son jardin dans une plaine irriguée par un système ingénieux de canaux et digues. Ce jardin devient un véritable laboratoire à ciel ouvert. Le frère Gillet y pratique des échanges avec d’autres institutions botaniques à travers le monde : Java, Bombay, le Brésil, l’Afrique de l’Est. Il compile ses observations, fait classifier les espèces, échange des semences et introduit de nouvelles cultures au Congo. Certaines variétés portent même son nom, comme Ensete gilletii, une plante proche du bananier. Il crée un herbier gigantesque, avec plus de 8 000 spécimens, aujourd’hui conservé au Jardin botanique de Meise en Belgique. En 1909, son catalogue recense 600 espèces ; en 1927, il en compte près de 1 800. Son jardin devient une référence scientifique, un centre d’expérimentation, d’enseignement et un exemple de coopération agroécologique. Mais le frère Gillet reste un homme simple, entièrement dévoué à sa mission. Il refuse les honneurs et consacre toute son énergie à l’entretien, au développement et à la transmission de son œuvre. Il y travaille jusqu’à sa mort, survenue le 22 juillet 1943, à l’âge de 77 ans, à Kisantu même. Après son décès, son jardin est baptisé "Jardin botanique Gillet", puis simplement "Jardin botanique de Kisantu". Il continue de vivre, enrichi par ses successeurs jésuites puis repris par l’État congolais après l’indépendance. Le jardin connaît des périodes difficiles mais est sauvé dans les années 2000 grâce à un vaste programme de réhabilitation soutenu par la Belgique et des ONG environnementales. Aujourd’hui encore, il demeure un pôle de recherche, d’éducation et de préservation des plantes tropicales, ouvert aux chercheurs comme aux visiteurs. À Paliseul, un arbre exotique a été planté en son honneur, symbole vivant du lien entre le petit village wallon et le grand jardin africain. Le nom de Justin Gillet reste celui d’un bâtisseur silencieux, d’un homme de foi et de science, qui a semé bien plus que des graines dans la terre congolaise : il y a cultivé un héritage durable. 📚 Sources : Jardin botanique de Kisantu (histoire & réhabilitation) – Wikipédia Biographie de Justin Gillet SJ – Jardin botanique Meise & Compagnie de Jésus Archives Brill (ouvrage sur les missions jésuites au Congo) Herbier historique Gillet – Base de données scientifique Plantentuin Meise Article BGCI sur la conservation botanique en RDC Publications anciennes : Catalogue des plantes du Jardin d’Essais de Kisantu (1909, 1927) Images & documentation issues de Wikimedia Commons et Archive.org
Née à Carlsbourg en 1913, Cécile François fait ses études primaires au village avant d'aborder les humanités gréco-latines et une régence littéraire chez les Annonciales à Heverlée
Lien IciL’archiviste général du Royaume Joseph Cuvelier a publié en 1923 dans le Bulletin officiel du TCB une intéressante monographie basée sur la découverte d’un manuscrit dans les Archives de Florence. Ce document s’est avéré être la relation officielle de voyages effectués entre 1667 et 1669 par le grand-duc de Toscane, Cosme III de Médicis, dans différents pays du nord de l'Europe (Angleterre, Hollande, Pays-Bas). Nous nous intéresserons à un périple commencé le 19 juillet 1669 lors duquel Cosme de Médicis, se trouvant à Aix-la-Chapelle, se mit en route vers la France en traversant pour partie notre pays. Pour cheminer sûrement, Cosme « s’était fait escorter par un grand nombre de fantassins l’accompagnant à travers un pays montueux et boisé ». Après Limbourg, Dolhain et le Spa des bals mondains, le convoi s’ébranla dans la matinée du 24 juillet pour s’enfoncer dans l’Ardenne profonde, et rejoignit par des routes assez mauvaises le château de Barvaux-en-Condroz. « A son arrivée, Son Altesse fut saluée par la décharge de quelques pièces d'artillerie servant à la garnison. Elle rendit visite à quelques dames parentes du baron, qui s'étaient préparées à recevoir le duc. Elles furent probablement quelque peu désillusionnées en apprenant que, selon la coutume, le duc désira manger seul dans sa chambre, et elles durent se contenter de quelques gentilshommes de la suite, qui firent d'ailleurs honneur aux préparatifs considérables qui avaient été faits. Ils se divertirent longtemps à table, où, en compagnie des seigneurs du pays, ils burent démesurément » ! Le 25, le duc assista à la messe matinale de Barvaux, puis se remit en route vers Rochefort, place passablement fortifiée, parce que formant la frontière du duché de Bouillon. Après y avoir dîné, le duc continua son voyage vers Paliseul où il arriva en fin d’après-midi. Ce « misérable village était tellement dépourvu de commodité que tous les gens de la suite furent contraints de passer la nuit sur la paille. C'est à peine si l'on y découvrit une chambre convenable pour y étendre le lit de Son Altesse… » Le matin du 26, le duc continua son périple en bordure de la « fameuse forêt d'Ardenne et arriva pour dîner à Bouillon, château-fort situé sur une éminence qu'avoisine la Smoy (Semois) »… Si l’on en croit le compagnon de voyage et auteur du texte, nul doute que cette nuit du 25 juillet 1669 passée dans notre village a laissé un souvenir impérissable à ce grand-duc austère et bigot. La morale de l’histoire est qu’on ne peut pas tout avoir où que l’on aille, fut-on Grand-Duc. C’est ce que durent se dire nos ancêtres, en voyant tous ces beaux seigneurs entassés pour la nuit sur la paille des granges paliseuloises…
💼 David Clarinval, actuel homme politique bien connu sur la scène nationale, a fait une partie de son parcours scolaire à l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg, où il a effectué ses études secondaires. Une belle occasion de rappeler que notre village a vu passer entre ses murs bien des visages… parfois appelés à un grand avenir ! 😉
🎡 Le saviez-vous ? 🎪 Le célèbre Eddy Meeùs, fondateur de Walibi et pionnier du parc d’attractions en Belgique, a lui aussi fréquenté l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg durant ses études secondaires. Avant de révolutionner le monde du loisir en Belgique, il a donc passé quelques années sur les bancs de notre école locale… Une fierté de plus pour Carlsbourg ! 🙌
Pilote militaire belge, évadé par les airs vers l’Angleterre, prisonnier de guerre, commandant de bord à la Sabena… et résident de Our (Paliseul). ✈️ Une jeunesse tournée vers le ciel Né en 1916 à Oisy, Léon Divoy rejoint très tôt les rangs de l’Aéronautique militaire belge, l’aviation de combat du pays. Il y suit sa formation de pilote, aux côtés de camarades qui, comme lui, seront projetés au cœur du conflit mondial à venir. Parmi eux, Michel Donnet, avec qui il entretiendra une amitié et un destin hors du commun. ⚔️ 1940 : La défaite... mais pas la soumission En mai 1940, l’armée belge affronte l’invasion allemande dans une guerre-éclair brutale. Léon Divoy participe à la campagne des 18 jours, qui se solde par la capitulation du royaume. Mais pour lui et d’autres, cette défaite n’est pas la fin du combat. Rapidement, il entre dans la clandestinité. Avec Michel Donnet, il découvre un biplan Stampe & Vertongen SV-4b, saboté, entreposé dans un hangar du château de Terblock à Overijse. Ce château est alors occupé par les Allemands. Durant trois mois, les deux hommes, aidés par des membres de la résistance locale, vont remettre en état l’appareil, de nuit, pièce par pièce. 🛫 L’évasion par les airs : 4 juillet 1941 Le 4 juillet 1941, à la nuit tombée, Divoy et Donnet prennent tous les risques : ils s’envolent à bord du SV-4 réparé, sans radio, sans radar, avec pour seul guide une carte, une montre et un compas. Leur cap : 300 degrés — plein ouest, vers la liberté. Après plus de deux heures de vol au-dessus d’une Europe en guerre, ils atterrissent sans encombre dans un champ près de Thorpe-le-Soken, dans le comté d’Essex, en Angleterre. Leur évasion audacieuse devient un symbole de courage, de résistance, et de défi à l’occupant. 🇬🇧 Intégration dans la RAF et missions de guerre Aussitôt arrivés au Royaume-Uni, les deux hommes rejoignent les rangs de la Royal Air Force (RAF). Léon Divoy est formé sur Spitfire et affecté au No. 64 Squadron, opérant des missions offensives au-dessus du continent. Le 4 avril 1942, lors d’une opération au nord de la France, son avion entre en collision avec un autre Spitfire. Il est contraint de sauter en parachute. Blessé à l’atterrissage, il est capturé par les troupes allemandes. 🎖️ Prisonnier au Stalag Luft III Léon Divoy est interné au Stalag Luft III, un camp réservé aux pilotes alliés capturés. Ce camp sera plus tard célèbre pour la fameuse "Grande Évasion" de 1944. Divoy participe aux préparatifs mais ne fait pas partie des évadés sélectionnés. Il restera prisonnier jusqu’à sa libération en mai 1945. 🛬 Retour en Belgique et engagement dans l’aviation belge À son retour, Léon Divoy est invité à survoler Bruxelles à bord du même SV-4b, aux côtés de Donnet, lors d’un événement marquant l’après-guerre. Il reprend brièvement du service dans la toute jeune Force aérienne belge. En 1950, il est nommé commandant de la 349e escadrille à Beauvechain. Il pilote alors des avions à réaction Meteor F4, symboles d’une aviation belge moderne et tournée vers l’avenir. ✈️ Carrière civile à la Sabena En 1952, il quitte l’armée pour devenir pilote de ligne chez Sabena, la compagnie aérienne nationale belge. Il y mènera une carrière exemplaire comme commandant de bord, aux commandes de DC-4, DC-6, Convair et Caravelle. Au total, il effectuera plus de 16 000 heures de vol, un chiffre qui témoigne de son expérience, de sa maîtrise et de sa longévité dans le ciel. 📖 Un livre, une mémoire En 1968, il publie Cap 300, un ouvrage autobiographique dans lequel il revient sur son évasion aérienne, ses années de guerre, et son engagement sans faille pour la liberté. Le titre fait référence au cap de navigation (300°) suivi durant son vol clandestin vers l’Angleterre. 🏡 Une vie discrète à Our Ce héros national a aussi mené une existence paisible à Our, dans la commune de Paliseul, village de l’Ardenne belge qu’il a choisi comme lieu de résidence. Peu de gens le savaient, mais c’est là qu’il a vécu une partie de ses dernières années, loin de la lumière, fidèle à sa discrétion. 🕊️ Fin de parcours et postérité Léon Divoy est décédé le 7 février 1977 à Uccle. Il laisse un héritage marqué par le courage, la fidélité à ses valeurs, et un sens profond du devoir. Une réplique du SV-4b utilisé lors de son évasion est aujourd’hui visible au Musée de l’Air (Parc du Cinquantenaire à Bruxelles). À l'occasion des commémorations, des avions survolent parfois le château de Terblock en hommage à cet exploit. 📌 Sources : RTBF – Il y a 80 ans, l’exploit épique de Donnet et Divoy Wikipédia : Léon Divoy, Michel Donnet aviation.brussels – profils de pilotes belges dans la RAF Vieilles Tiges de l’Aéronautique belge – notice biographique Livre : Cap 300, Léon Divoy Archives communales de Paliseul – mention de résidence à Our Musée de l’Air (Bruxelles) – réplique du SV-4 exposée Groupe Local - Paliseul d'Antan
Fête du Beurre de Carlsbourg – 130 ans de saveur et d’histoire 📅 18 octobre 2025 – Carlsbourg - déjà un grand Merci à tousEn savoir plus